"On ne va pas rester les bras croisés et accepter que les ventes de chewing-gum s’effondrent lamentablement», explique Irene Rosenfeld, PDG de Mondelez, tout en refusant de reconnaître que la société a violé des droits humains en mettant à pied cinq dirigeants syndicaux de son usine de chewing-gum d’Alexandrie, en Égypte.
"L'UITA ne vas pas rester les bras croisés et accepter le licenciement arbitraire de dirigeants syndicaux pour avoir exercé leurs droits», déclare pour sa part le secrétaire général de l'UITA, Ron Oswald.