Les discussions sur le commerce électronique, intégré à un ensemble de « nouvelles questions », font actuellement l’objet d’une procédure accélérée à l’OMC. L’ordre du jour concernant le « commerce électronique », en soi un intitulé fallacieux, n’a rien à voir avec les achats en ligne. L’objectif est de transformer toutes les activités productives, y compris le travail dans l’agriculture, en un ensemble de services externalisés et délocalisés sur lesquels les travailleurs-euses, et les gouvernements, n’auraient aucun contrôle.