Publié : 07/07/2021

Pendant des années, NagaWorld, le plus grand centre de loisirs du Cambodge, a refusé de reconnaître pleinement le syndicat Labour Rights Supported Union of Khmer Employees of NagaWorld (LRSU), affilié à l'UITA. Ce syndicat continue de se battre pour améliorer les salaires, mettre fin à la violence et au harcèlement au travail, et mettre en œuvre les protocoles de sécurité liés au COVID-19. À présent, NagaCorp paie généreusement ses actionnaires tout en licenciant plus de 1300 travailleurs-euses sans droit à la représentation syndicale et en licenciant leurs dirigeant-e-s syndicaux-ales.

  • LRSU a présenté un conflit collectif de travail auprès du ministère cambodgien du Travail et de la Formation professionnelle, avec le soutien de plus de 2000 membres du syndicat.
  • Deux médiations ont pris fin sans résultat, le gouvernement et l'employeur refusant de reconnaître les droits syndicaux prévus par les conventions 87 et 98 de l'OIT.

CLIQUEZ ICI pour envoyer un message à NagaWorld lui demandant de renoncer aux licenciements, respecter les droits syndicaux et négocier de bonne foi avec le syndicat LRSU !

La Secrétaire générale de l'UITA, Sue Longley, a déclaré : « Les travailleurs-euses de NagaWorld ont risqué leur vie pendant la pandémie de COVID-19. Et une fois de plus, les actionnaires sont récompensés sur le dos des travailleurs-euses que l'entreprise traite comme une main-d'œuvre jetable. Nous ne tolérerons pas cette violation flagrante des droits, et nous appelons toutes les affiliées de l'UITA à se joindre à la lutte. »

 

Les travailleurs-euses de NagaWorld ont risqué leur vie pendant la pandémie de COVID-19. Et une fois de plus, les actionnaires sont récompensés sur le dos des travailleurs-euses que l'entreprise traite comme une main-d'œuvre jetable. Nous ne tolérerons pas cette violation flagrante des droits, et nous appelons toutes les affiliées de l'UITA à se joindre à la lutte.
Sue Longley, secrétaire générale de l'UITA