La présidente du Comité des femmes de l'UITA, Patricia Alonso, a ouvert la réunion en célébrant la solidarité, compte tenu des défis du COVID-19.
La Conférence des femmes a rendu hommage à trois puissantes dirigeantes syndicales qui sont malheureusement décédées au cours de la dernière période de congrès : Marie Fiankan, ancienne secrétaire générale de CIAGHACI Dignité, Côte d'Ivoire ; Myrtle Witbooi, ancienne présidente de FITD, Afrique du Sud ; Ela R. Batth (également connue sous le nom d'Elaben), fondatrice de la Self-Employed Women Association (SEWA), Inde.
Après des présentations sur la suppression brutale des droits des femmes en Afghanistan, au Bélarus et en Algérie, les participantes ont souligné la nécessité absolue de lutter pour les droits génésiques partout dans le monde.
Les rapports régionaux de l'UITA à la conférence ont abordé quatre domaines de travail :
- Organiser et recruter davantage de travailleuses et promouvoir davantage de femmes syndicalistes au niveau de la direction
- Défendre et promouvoir les droits des travailleuses en matière de maternité
- Promouvoir et développer l'emploi des femmes
- Prévenir et éliminer la violence et le harcèlement fondés sur le genre
La Conférence mondiale des femmes de l'UITA s'achève pour la journée, mais nous sommes prêtes pour le #CongrèsUITA2023. Peu importe d'où nous venons, quelle langue nous parlons ou où nous travaillons - nous sommes unies pour l'égalité des droits et l'accès à un emploi décent avec #EqualPay. #1u #IUFGlobal pic.twitter.com/iaSnEzvGRZ
- UITA (@UITAglobale) 10 juin 2023
